Les métiers de
la maintenance définissent plusieurs niveaux :
- Niveau 0 : Assistance
téléphonique pour fournir à l’utilisateur des renseignements
sur le fonctionnement du matériel " et, ou "
pour aider à résoudre un problème technique simple.
- Niveau 1 : Intervention
sur site qui consiste à remettre en fonctionnement le système, par
échange de sous ensemble, ou par des opérations de réglage complexe
du matériel.
- Niveau 2 : Intervention
sur site ou en atelier qui consiste à remettre en fonctionnement
le système, par échange de matériel ou par tous moyens ne nécessitant
ni démontage, ni réglage.
- Niveau 3 : Réparation
en atelier d’un sous ensemble par échange de composants.
-
Niveau 4 : Mise à niveau matériel ou logiciel d’un
ensemble ou d’un sous ensemble obsolète.
-
Niveau 5 : Restauration complète d’un matériel
par reconstruction de celui-ci.
.
II.
Historique des Réseaux
A l’origine,
pour assurer le dialogue homme <-> machine entre un ordinateur
et un utilisateur, il fallait une interface spécial, appelée terminal,
(fig. 1).
La vitesse de
transmission est égale au débit binaire.
La vitesse d'émission n'est pas égale à la vitesse de réception.
Il y a donc adaptation des vitesses.
Constitué par
un clavier et une console de visualisation, le terminal, situé à
proximité de l’ordinateur est relié à celui ci par une liaison
informatique (fig. 2).
La seconde étape
de l’évolution informatique à été de multiplier les accès au
calculateur impliquant alors, la réservation de mémoire suffisante
et la mise en œuvre d’un logiciel pour partager les ressources
et les données ; gérer les terminaux locaux ou éloignés ;
gérer les transmissions.
Cette nouvelle structure informatique utilise alors les ligne spécialisé
(fig. 3).
Puis un nombre
important de terminaux éloignés de l’ordinateur ce sont retrouvés
groupés dans une même zone géographique, on à alors utilisé une
ligne de transmissions commune, mais à plus haute vitesse. Ces fonctions
de concentrations de trafics sont alors assuré par des multiplexeurs,
démultiplexeurs (fig. 4).
L’étape suivante
à consisté à évacuer le contrôleur de communications situé à l’intérieur
de l’ordinateur pour en faire un calculateur frontal, cette
appareil est un véritable ordinateur dédié uniquement aux problèmes
de transmissions. Le but est d’alléger le CPU principal pour
qu’il puisse assurer ces fonctions de calcul (fig. 5).
Puis la diversité
des matériels et des constructeurs souvent incompatibles entre eux
les à obligés a prévoir une émulation des autres matériels rendant
ainsi possible une interconnexion entre systèmes hétérogènes. Or
cette interconnexion nécessite d’intercaler un nouvel organe
appelé commutateur. Celui ci permet de sélectionner la direction
de transmission des informations, on peut alors parler de réseaux
informatique de type wide aréa network (W.A.N) (fig.6).
Au milieu des
années 80, la prolifération du microbe PC dans les entreprise entraîna
un concept nouveau (L’architecture client <-> serveur),
en général un système client <-> serveur se concrétise par
un ordinateur puissant (le serveur) raccordé de façon linéaire au
ordinateur client qui remplace les anciens terminaux. Le type de
réseaux ainsi constitué s’appelle local aréa network (L.A.N)
(fig.7).
.
III.
Liaison Télé-Informatique
Une liaison télé-informatique
est un procédure d’échange de signaux appelés protocole de
liaison. Les protocoles de liaison permettent aux différents ordinateurs
et terminaux d’échanger des données sans erreur, sans perte
d’information, et sans duplication.
Un protocole de
liaison à pour responsabilité d’assurer le transfert des données
et de gérer la liaison. Ce protocole implique une organisation en
bloc, par découpage de l’ensemble des informations à transmettre
(fig. 8).
La transmission
à distance sur le circuit physique de donnée s’effectuant sous
forme série, le protocole doit être capable de faire la distinction
entre les informations de commande et de donnée.
Les communications
entre terminaux sont établis et rompus par des commandes approprié
du protocole.
Chaque extrémité
d’une liaison doit être synchronisé tous au long de la transmission
d’un bloc. Chaque extrémité doit aussi être identifié par une
adresse ou une étiquette. Le protocole de liaison a en charge la
détection des erreurs de transmission ; il se doit aussi d’engager
des procédure de reprise en cas d’anomalie.
.
IV.
La normalisation
En télé-informatique,
toute la référence provient des textes issues de l’I.S.O, de
l’I.E.E.E et le C.C.I.T.T, ces comités ont définis un modèle
technique en couche permettant de décomposer toute structure (telle
qu’un ordinateur) en sept couche fonctionnel (fig. 9).
1.
La couche physique défini le support de transmission et en
particulier la manière dont les bits d’informations sont acheminés
par un canal de transmission qu’il soit bifilaire, coaxiale,
optique ou hertziens.
2.
La couche liaison veille a ce que la transmission dans chaque
liaison soit exempte d’erreur et dans le cas contraire assure
la retransmission.
3.
La couche réseau est responsable de l’acheminement de
l’information à travers l’ensemble des réseaux de communications.
4.
La couche transport effectue un contrôle de bout en bout
de toute la chaîne de transmission pour que l’information arrive
intact à destination quel que soit la qualité de service offerte
par le réseau.
5.
La couche session structure les dialogues entre les systèmes
informatiques hétérogène.
6.
La couche présentation coordonne le format et la présentation
de l’information entre système.
7.
La couche application contrôle la réalisation de la tâche
qu’exécute une application entre des systèmes.
.
V.
Le circuit de donnée
Un circuit de
donnée est un ensemble complet constitué au minimum d’une ligne
de transmission avec à chaque extrémité, un E.T.C.D. raccordé a
un E.T.T.D. au travers d’une jonction, on défini un E.T.T.D.
comme un équipement terminale de transmission de données, tel que
terminaux, ordinateurs, imprimantes et tous autres périphériques
de saisie ou de restitution des données. On définie un E.T.C.D comme
un équipement de transmission de circuit de données tel que les
modems, les codeurs et autres adaptateurs de lignes (fig. 10).
Le rôle d’un
E.T.C.D. est d’adapter la signal à transmettre aux caractéristiques
du support de transmission qu’est la ligne. Ceci parce que
le signal à transmettre est généralement numérique, haute impédance
et de faible amplitude, alors que les caractéristiques des lignes
nécessite des signaux basses impédances analogiques, et de forte
amplitude à cause des pertes en lignes. Le rôle de la jonction entre
l’E.T.C.D. et l’E.T.T.D. est de coordonner le dialogue.
La jonction peut être de plusieurs types : (V24, V35, SO).
.
VI.
Définition de quelques éléments
1.
Définition d'un Terminal
Un terminal est
un équipement constitué d’un clavier et d’une visualisation,
il se configure suivant trois menus :
- Un menu de configuration,
d’émulation des formats d’affichages (Minitel, TTY, ANSI,
BBS).
- Un menu de configuration des paramètres de communications (Vitesse,
Caractères, Mode de connexion).
- Un menu de configuration des protocoles de communications (X modems,
Asynchrone, Synchrone, X 25, Z Modems, Kermit, Téléchargement).
2.
Définition d'un Ordinateur
Un ordinateur
est un équipement constitué d’un processeur et d’une mémoire,
il a pour rôle d’effectuer des calculs binaires, on peut considérer
qu’un ordinateur est une grosse calculatrice. Il est définie
par sa puissance de calcul mesuré en mips (million d’instruction
par seconde) pour être utilisé il doit au minimum être raccordé
à un terminal.
3.
Définition d'un Frontal
Un frontal d’ordinateur
est un équipement contrôleur de communications. Il s’intercale
entre l’ordinateur et les lignes de communications. Il à disparu
au cours des années 90.
D@rkLore
